La différence de prix et la période d’achat

L’avantage d’acheter un logement neuf, c’est qu’il est conforme aux dernières règlementations. Les normes en matière d’isolation, de respect de l’environnement ou de plomberie sont respectées. Ils sont faciles d’accès, même pour les personnes à mobilité réduites. Par contre, il faut préciser que les logements neufs sont vendus en VEFA, c’est-à-dire en l’état de futur achèvement. Ainsi, il vous faudra attendre plusieurs mois avant de pouvoir entrer en possession de votre bien. D’un autre côté, si vous choisissez d’investir dans une maison ancienne, la procédure de cession est plus rapide.
La majorité des anciens immeubles sont placés à proximité de lieux stratégiques tels que les écoles, les pharmacies ou les commerces. Pour ce qui est du prix, les logements neufs sont toujours plus chers par rapport aux anciens. Le prix du m² est 20% plus cher que les anciens. Néanmoins, vous pouvez amortir le tout grâce aux dispositifs de défiscalisation. En effet, les nouveaux logements bénéficient d’une exonération de taxe foncière pendant les deux premières années. Avec la loi Marlaux ou Pinel, vous pouvez espérer une réduction de près de 30 000 euros de vos participations sociales sur 9 ans. Pour ce qui est des logements anciens, même si les prix sont plus accessibles, les travaux de rénovation à faire peuvent être plus conséquents. Les émoluments des notaires peuvent atteindre jusqu’à 8%.

Investissement immobilier, comment convaincre son banquier ?

Vous avez résolu votre dilemme entre l’achat dans le neuf et dans l’ancien ? Maintenant, il vous faut trouver le crédit nécessaire à votre projet d’achat. Pour cela, il faudra emprunter auprès des banques. Pour obtenir un « oui » de la part de votre banquier, vous allez devoir constituer un dossier convaincant. S’il juge que vous n’êtes pas solvable, il ne vous attribuera pas le prêt. Premièrement, vous devez le rassurer. Un banquier n’aime pas prendre des risques. Vous devez donc avoir une situation financière irréprochable (pas de dépenses inutiles, un peu d’épargne, pas de compte débiteur, pas de prêt à la consommation, et un taux d’endettement assez bas). Ensuite, vous devez le convaincre du sérieux de votre projet. Votre banquier doit ressentir la passion qui anime votre projet d’investissement. Vous devez savoir lui partager votre enthousiasme à la réalisation de votre projet. Enfin, vous devez montrer que votre projet est solide et rentable. C’est uniquement en lui faisant part de votre sérieux que vous obtiendrez un prêt pour votre projet. Enfin, si après avoir obtenu votre prêt, vous avez un autre projet d’achat et avez besoin d’un petit coup de pouce financier, vous pouvez trouver sur editions-oriflam.fr des astuces pour avoir un complément de revenu. Cela vous évite ainsi de prendre d’autres prêts.

En quoi consiste l’investissement socialement responsable ?

Cette démarche vise à choisir des fonds d’investissement, non seulement en se basant sur les performances financières de ceux-ci, mais aussi en tenant compte de quelques critères non financiers.

Les fonds ISR ont été créés en réponse aux attentes des investisseurs qui souhaitent soutenir et encourager les entreprises ayant de bonnes pratiques. Les bonnes approches adoptées par ces entreprises doivent par ailleurs se traduire par de bons résultats financiers. En d’autres termes, les fonds ISR n’ont rien à envier en termes de performance financière, aux fonds traditionnels.

Comment un produit financier peut-il être défini comme ISR ?

Le Label ISR est attribué aux entreprises cotées en Bourse répondant à des critères environnementaux, des critères sociaux, et des critères de gouvernance.
En premier lieu, les sociétés labellisées ISR doivent mettre en place une politique de développement durable. Elles doivent bien gérer les déchets de leurs activités, et mettre en place des mesures concrètes afin de contribuer à une meilleure conservation de la planète.
Ensuite, les entreprises qui bénéficient du label ISR doivent veiller au bon respect des droits de l’Homme. Elles doivent se soucier du bien-être physique et moral des salariés. À cet effet, une politique de prévention des accidents est obligatoire. La mise en place des plans de formation du personnel aussi est nécessaire. Enfin, les entreprises ayant reçu ce label doivent attester d’une bonne gouvernance interne.
Le Label ISR peut être délivré par les organismes de notation ou encore par le gouvernement. Le site de Novethic recense la plupart des fonds ISR existants.

Pourquoi investir dans l’immobilier ?

L’investissement immobilier présente de nombreux avantages. Il permet de se créer un complément de revenu et d’avoir une retraite confortable. L’immobilier présente également un patrimoine que vous pourriez laisser à vos enfants. De nombreux dispositifs ont été mis en place pour vous aider à gérer correctement votre patrimoine. La loi Pinel vous permet profiter d’une réduction d’impôt.

Investissement : comment le rendre plus rentable ?

Pour réussir votre investissement locatif, vous devriez déterminer le retour sur investissement que vous souhaiterez obtenir. De ce fait, vous devez effectuer des études de marché pour déterminer le type de bien immobilier qui vous correspond ainsi que la zone la plus rentable. Il est également important d’adopter une bonne stratégie d’achat pour éviter de perdre de l’argent. Sachez également déjouer toutes les pièces qui peuvent survenir dans le secteur. L’important c’est de faire de profit le plus vite possible. De ce fait, éviter d’acquérir une maison ou un appartement trop cher, ou qui vous revient plus cher.

Investissement immobilier : les pièges à éviter

Différentes pièges peuvent survenir dans l’immobilier. Avant d’investir, pensez à vérifier s’il y a des travaux à faire dans les parties communes. Vous devez vous informer des dernières décisions prises par l’assemblée des copropriétaires avant de prendre une décision. Le neuf ne présente qu’une faible taux de rentabilité. Il vaut mieux éviter si vous avez un petit budget, sauf si vous avez recours à certains dispositifs fiscaux qui vous permettent de profiter d’une réduction d’impôt. Vérifiez également qu’il n’y a plus d’impayés rattachés au bien.

Est-ce pour tout le monde ?

Il y a d’ailleurs, de plus en plus de particuliers qui se lancent en Bourse, même si en France, on sent encore une certaine appréhension par rapport à la Bourse. D’ailleurs, parmi ceux qui ont investi, une grande majorité le font via d’autres véhicules financiers, sans oser investir de manière directe. Mais il est possible d’en savoir davantage, de gagner en assurance -et en prudence- et d’investir directement. Il est toutefois recommandé d’apprendre la gestion du risque et de se préparer à faire face à des risques, comme pour tout investissement d’ailleurs.

Comment investir en Bourse de manière directe ?

Un particulier qui souhaite investir en Bourse n’a qu’à demander à son banquier de lui ouvrir un compte titre en Bourse. Il a aussi la possibilité de le demander à un courtier spécialisé en Bourse. Lorsqu’un compte titre est ouvert, il est possible de l’associer à un PEA ou Plan d’épargne actions. Y a-t-il un avantage quelconque à une telle association ? Oui, sur le plan fiscal, c’est vraiment avantageux mais seulement à condition de bloquer le capital pendant au minimum 8 ans. C’est réservé à ceux qui sont sûrs de ne pas avoir besoin de leur argent pendant cette longue période. Cela requiert beaucoup de réflexion, tout comme le fait d’investir en Bourse par soi-même, car les risques existent bel et bien, et ils peuvent être importants. Il faut une solide formation pour devenir trader, ce qui exige du temps, de la motivation et énormément de travail.

Ce qui est important en Bourse

Avant de décider d’investir en Bourse, un particulier doit pouvoir déterminer son profil de risque. Ceci est important pour évaluer ses chances de gagner de l’argent. De plus, le timing est aussi important. Qu’est-ce que cela signifie-t-il ? Qu’il faut prendre position au bon moment. En fait, un investisseur qui a trouvé la meilleure valeur du marché qui soit mais qui a pris position avant un krach boursier sera toujours perdant. Rester à l’affût et prendre position au moment propice est le moyen idéal pour générer une meilleure rentabilité sur les investissements.

Comment se passe l’investissement indirect ?

C’est à chaque investisseur de déterminer s’il est ou non capable de se constituer un portefeuille bourse. S’il n’en a pas la capacité, le mieux est d’investir via des fonds de placement tels que le FCPI, l’OPCVM, les fonds indiciels etc. Ce sont des fonds communs qui peuvent être intégrés dans une assurance-vie. L’investissement se fait soit par gestion libre où l’investisseur est libre de choisir et de modifier à tout moment ses fonds de placement, soit par gestion sous-mandat où c’est un gestionnaire qui décide de tout, ou par gestion pilotée, c’est-à-dire que l’argent est confié à un gestionnaire mais en suivant les instructions de l’investisseur.

Une valeur sûre en bourse

L’achat d’obligations garantit un revenu régulier grâce aux coupons de versement et à un taux d’intérêt fixe. Le détenteur de dette connait déjà la date d’échéance ainsi que le montant qu’il recevra à la fin.

Un investissement comme une épargne

Lentement, mais sûrement, investir dans les obligations est un bon moyen de s’assurer sa retraite. En effet, les autres investissements en bourse peuvent subir des fluctuations pouvant générer gains ou pertes, tandis que les obligations sont plus sûres.

Plusieurs types d’obligations parmi lesquels choisir

Enfin, plusieurs choix s’offrent aux investisseurs sur le marché de la bourse en ce qui concerne les obligations. Les obligations peuvent en effet être celles de l’État, d’une entreprise publique ou privée, d’une collectivité ou d’une association… L’entité émettrice des obligations peut être très variée, mais de toutes, l’État est le plus sûr.

En cas de faillite de la société

Le principal risque d’investir en obligations c’est le dépôt de bilan s’il s’agit d’une entreprise. Une faillite peut amener une société dans l’incapacité d’honorer ses remboursements. Néanmoins, les détenteurs de dette sont ceux qu’on rembourse avant les actionnaires en cas de faillite.

En cas de remboursement anticipé

Un remboursement anticipé peut également poser quelques désagréments si le cas se présentait. Vous aurez certes votre investissement initial, mais ne pourrez pas compter sur les intérêts prévus selon l’échéance de départ.

En cas de revente avant échéance

Pour une raison ou une autre, vous pourrez être amené à vendre vos obligations à votre tour et cela avant l’échéance. Si vous ne choisissez pas un moment opportun, vous risquerez de ne pas retrouver votre capital de départ. En effet, si la vente se fait lorsque la valeur se voit diminuer, vous ne retrouverez pas la totalité de votre investissement de départ.